| | What the f... ?!? | |
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+7Alain le Bon barragnas NENSJACK eyegfash3 BMC strikeandhold glenn 11 participants | Auteur | Message |
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glenn Admin
Messages : 450 Date d'inscription : 26/11/2007 Localisation : On the Extreme Northeast Front !
| Sujet: What the f... ?!? Mer 1 Juil 2009 - 17:58 | |
| Salut, Pour info... http://news.bostonherald.com/news/regional/view.bg?articleid=1177122 - Citation :
- An Army veteran who has masqueraded as a D-Day paratrooper for decades is due to receive France’s highest military award, although records reveal the 84-year-old Lowell native didn’t jump into Normandy on June 6, 1944.
Howard Manoian’s gripping accounts of landing behind enemy lines with the elite 82nd Airborne Division have been widely reported by the Herald, The Boston Globe and other newspapers.
National Archives records provided to the Herald by military researchers show Manoian does in fact deserve recognition as one of the many thousands of young American soldiers who put their lives on the line on D-Day - not as a paratrooper, but as a member of a less glamorous chemical warfare unit that came ashore on Utah Beach and ran a supply dump.
“The military records leave no doubt that he never served in Normandy as a paratrooper,” said researcher Brian Siddall of Ithaca, N.Y., citing numerous reports and payroll records listing Manoian in the 33rd Chemical Decontamination Company throughout 1944.
Siddall, 47, nephew of the 82nd’s Cpl. Quent Siddall, who was killed on D-Day, said, “To give the award to someone who has misrepresented his service for the past 30 years diminishes the value of the award.”
Though queried by the Herald and the researchers regarding discrepancies in Manoian’s past accounts, the French government still plans to award the Legion of Honor to the retired Derry, N.H., cop. Manoian is to be honored today at the Airborne Museum in Ste. Mere-Eglise, said Troy Darr, a spokesman for a U.S. military task force planning today’s 65th anniversary events.
Alexis Berthier of the French Consulate in Boston said the Grand Chancellery of the Legion of Honor is aware of the issue. But he said, “Mr. Manoian will receive the Legion of Honor based on the confirmed and established elements of his service, not on the contested ones. It is established that Mr. Manoian participated in the Normandy campaign and was wounded in action on French soil.”
Reached by phone in his home near Ste.-Mere-Eglise, Manoian acknowledged serving in the chemical unit, but stood by his paratrooper claim: “I was in basic training in the Chemical Warfare Service. After that I went into the paratroopers. The French government did a lot of research on me. They cleared everything.”
D-Day paratrooper David Bullington, 88, of Dyesburg, Tenn., whose name appears in the 82nd’s official records, said he only met Manoian years after the war and Manoian told him three different versions of where he landed.
“You don’t land in three different places in one jump and walk away,” Bullington said. Noting that he lost a lot of friends that day, Bullington added, “I don’t like to see someone claiming to be a paratrooper to grab a little bit of glory for doing what real paratroopers did in Ste. Mere-Eglise. It’s a slap in the face.”
In numerous interviews - even when challenged by the Herald this week - Manoian has said he was shot and hit in both legs by shrapnel June 17, 1944, while searching a house. But records show he was evacuated to England that day after fracturing his middle finger, returning to duty only in November 1944 - precluding his claim of a combat jump in Holland on Sept. 17, 1944.
In Ste. Mere-Eglise bars, Manoian, wearing a scarf purportedly made from his D-Day parachute, is feted as a hero. A plaque marks a spot in the local cemetery where he claims he landed. But Howard Melvin, a 505th regimental sergeant major, before his death in 2002, relayed his suspicions about Manoian’s story to former Herald reporter Tom Farmer, who had interviewed Manoian in 2001. Siddall’s later search uncovered the chemical unit records.
Farmer, who notified French officials, said, “It saddens me that this is a legitimate D-Day veteran who served his country with courage, but for some reason felt compelled to embellish his record to re-create himself as a Source: Richard Weir, June 6, 2009 | |
| | | strikeandhold
Messages : 9 Date d'inscription : 29/01/2009
| Sujet: Re: What the f... ?!? Mer 1 Juil 2009 - 21:41 | |
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| | | BMC
Messages : 11 Date d'inscription : 10/06/2009 Localisation : SECTEUR 244.ID
| Sujet: imposture Jeu 2 Juil 2009 - 12:12 | |
| SERVIR DANS UNE UNITÉ DE DÉCONTAMINATION, C EST HONORABLE MAIS PAS PAREILLE. AVOIR UN DOIGT CASSE, CA FAIT MAL, MAIS C EST PAS PAREILLE QUE DES ÉCLATS DANS LES DEUX JAMBES. IL FAUT AVOIR UNE VIE VRAIMENT TRISTE, QUAND LE SEULE MOYENNE DE SE REVALORISER, CONSISTE DANS LE FAIT DE SE OCTROYER DES FAITS HÉROÏQUES DES AUTRES. COMME ON DIT A LA GROSS LEGION : CEUX QUI ONT TIRE NE LES DITES PAS, ET CEUX QUI DIS N ONT JAMAIS TIRE. | |
| | | eyegfash3
Messages : 129 Date d'inscription : 27/11/2007
| Sujet: Re: What the f... ?!? Jeu 2 Juil 2009 - 14:09 | |
| ben quand même c'est hallucinant cette histoire.. c'et pas un homonyme ? c'est une fausse rumeur pour le faire couler ? ?
ca me choque... | |
| | | NENSJACK
Messages : 68 Date d'inscription : 04/01/2008 Age : 35 Localisation : Le Mans (Sarthe 72)
| Sujet: Re: What the f... ?!? Jeu 2 Juil 2009 - 16:17 | |
| - Citation :
- c'et pas un homonyme ?
ça serait difficile... un homonyme ayant le même numéro de matricule... | |
| | | barragnas
Messages : 545 Date d'inscription : 26/11/2007 Age : 43 Localisation : L'Escarène 06440
| Sujet: H Manoian serait un menteur ???!!! Lun 6 Juil 2009 - 11:37 | |
| aux dernières nouvelles... M. H Manoian serait un menteur ayant inventé son histoire de toutes pièces ??!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
nous attendons des explications......
Je suis triste pour tous les collègues reconstituteurs lui ayant voué tant de "dévotion" depuis tant d'années ! | |
| | | Alain le Bon
Messages : 939 Date d'inscription : 26/11/2007 Age : 56 Localisation : Aix en Provence
| Sujet: Re: What the f... ?!? Lun 6 Juil 2009 - 13:29 | |
| Attention, attention le monde de la reconstitution est un monde de crabe... Attendons d'en savoir plus avant de le descendre... Et puis lui il y était même si il n'a pas fait grand chose...
a+ | |
| | | eyegfash3
Messages : 129 Date d'inscription : 27/11/2007
| Sujet: Re: What the f... ?!? Lun 6 Juil 2009 - 13:44 | |
| Jt de dimanche soir 20h france2 un sujet lui est consacré....
et les preuves parlent... | |
| | | erwann
Messages : 369 Date d'inscription : 30/11/2007 Age : 31 Localisation : Southern France
| Sujet: Re: What the f... ?!? Lun 6 Juil 2009 - 14:01 | |
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| | | eyegfash3
Messages : 129 Date d'inscription : 27/11/2007
| Sujet: Re: What the f... ?!? Lun 6 Juil 2009 - 14:20 | |
| ce qui se disait... quelle imagination...
Howard Manoian a 19 ans quand il est parachuté au-dessus du petit village normand de Sainte-Mère-Eglise. Le Figaro l'a retrouvé soixante ans après dans cette bourgade du Cotentin, où il a établi sa résidence principale depuis 1992. D'origine arménienne, cet enfant du Massachusetts avoue apprécier le calme de la campagne normande, sauf à la veille de chaque anniversaire du débarquement. Ses souvenirs de la bataille de Normandie sont intacts. Il nous livre ici le journal de ces heures et de ces jours historiques.
4 et 5 juin
«La tempête fait rage. Le vent et la pluie balayent le tarmac du camp d'aviation située à quelques encablures de Leicester, en Angleterre. La météo n'est pas de la partie. Ce n'est pas tant la pluie qui nous inquiète, que les bourrasques de vent qui s'amplifient au fur et à mesure de la journée du 4 juin. Le vent, c'est sans doute le pire ennemi des parachutistes. Nous sommes pourtant prêts à y aller. Les manuvres, nous les connaissons par cur pour les avoir répétées de longs mois, ici, de l'autre côté du Channel. Mais la décision tombe, le Débarquement est reporté de 24 heures. Une journée de plus à attendre, à imaginer le pire, à ressasser les consignes dans notre tête, à feuilleter, sans réelle motivation, le dictionnaire anglais-français que la logistique nous a remis dans notre paquetage. La peur est là. Nous connaissons tous les statistiques, un parachutiste sur deux meurt avant d'avoir foulé le sol. Dans sa grande «générosité», l'Etat américain nous accorde d'ailleurs une sorte de prime de risque mensuelle de 50 dollars.
Le 5 juin au soir, comme prévu, une légère amélioration se dessine. Cette fois-ci, c'est la bonne. Dans quelques heures, nous survolerons la Manche, puis les côtes normandes. Dans mon esprit, dans celui de tous mes camarades, cette opération doit être de courte durée. Pas question de s'attarder en France. Le débarquement achevé, nous foncerons sur Berlin, notre ultime objectif.
Nuit du 5 au 6 juin
L'avion décolle vers 1 heure du matin et gagne rapidement le Cotentin, distant d'à peine 200 kilomètres de notre base. Mon bataillon, le 505e régiment, a pour objectif principal de prendre un pont qui enjambe la petite rivière de Merderet, un affluent de la Douve, située à 3 ou 4 kilomètres de Sainte-Mère-Eglise. L'avion entame sa descente, il a prévu de nous faire sauter au plus bas, c'est-à-dire à 200 mètres d'altitude maximum.
Je saute parmi les derniers. Mauvais présage, ou hasard d'un pilotage imprécis, j'atterris au beau milieu du cimetière de l'église du village. Je ramasse rapidement mon paquetage et décampe de ce lieu inhospitalier. Je retrouve avec bonheur trois de mes camarades. Mais la joie des retrouvailles est vite effacée par la riposte allemande. L'alerte a été donnée, les batteries de la Werhmacht s'exécutent. J'essaye de prendre contact avec le reste de ma compagnie, mais la connexion de ma radio est défectueuse.
Le combat de position fait rage dans les rues de Sainte-Mère-Eglise. On progresse très lentement, rue après rue, quartier par quartier.
6 juin
Le jour se lève et la lumière expose à nu les dures réalités de la guerre. Les corps s'amoncellent déjà dans les rues, les blessés se comptent par dizaines. Des fermes transformées en hôpitaux de fortune accueillent les éclopés.
Un officier américain vient me trouver. Il a besoin de renfort pour prendre le château de Fauville, quartier général des officiers allemands. Cette solide bâtisse est située à la sortie de Sainte-Mère-Eglise, sur la route de Carentan. Pris par surprise, dans son sommeil, l'ennemi oppose une résistance passive à notre assaut. En une demi-heure, l'affaire est bouclée, et les 40 officiers sont sous notre contrôle. Six parachutistes sont affectés à la surveillance du château.
Pour ma part, je regagne le nord de Sainte-Mère-Eglise, où une poche de résistance sévit. Nous partons à 44, nous revenons, le 7 au matin, à 18 de cette sanglante boucherie. Le commandant du bataillon, le sergent Robert Nyland, qui avait débarqué quelques heures plus tôt à Utah Beach, est mort.
7 juin
La journée entière est consacrée à la libération de Sainte-Mère-Eglise. Le combat de rue est intense.
Bientôt, la ville ressemble à un champ de ruines. Cela fait maintenant près de deux jours que j'ai été parachuté. Deux jours sans aucune nouvelle du reste de ma compagnie, basée à 4 kilomètres d'ici, en rase campagne. Nous tentons pourtant d'établir une communication mais nos radios ont été mal montées et rien ne fonctionne. Il faut attendre la fin de la journée du 7 juin pour que nous puissions enfin réaliser que nous maîtrisons la situation. La résistance allemande est bien plus forte que nous l'imaginions. Demain, nous pourrons enfin rejoindre nos camarades.
8 juin
Nous quittons Sainte-Mère-Eglise au petit matin. Mais avant de laisser cette bourgade derrière nous, il nous faut absolument trouver un point d'eau. Plus que faim, nous avons terriblement soif. Je n'ai pas bu depuis trois jours. Je frappe à une porte. Je ne parle pas un mot de français. Un homme m'ouvre. Je lui montre mon drapeau américain à l'épaule pour le rassurer. Je tourne fébrilement les pages de mon dictionnaire pour trouver les mots qui me donneront à boire. «Je veux boire...», je n'ai pas le temps de dire de l'eau que l'homme apporte une bouteille enveloppée d'un papier journal de sorte que je ne parviens pas bien à en distinguer le contenu. Il me sert alors généreusement de son liquide, qui a une couleur bien jaunâtre. Je me souviens alors que la logistique nous avait mis en garde sur le fait que l'eau, dans la plupart des villages de France, n'est pas potable.
Je sors alors deux comprimés purificateurs. J'attends qu'ils fassent leur effet, et avale à grandes gorgées ce breuvage. J'ai à peine le temps de réaliser qu'il s'agissait d'un alcool fort que je suffoque et manque de m'étouffer. Je comprends que cet homme a cherché à m'empoisonner. Je pointe ma mitraillette sur lui, mais il m'explique tant bien que mal qu'il m'a servi une sorte de brandy à la pomme appelé calvados. Pour m'excuser, je lui offre mes cigarettes.
Nous arrivons en début d'après-midi à destination et retrouvons avec joie le reste de mes camarades. Mais rapidement, je constate que notre compagnie accuse de lourdes pertes. Le bilan est effroyable. Deux cents soldats ont sauté sur le pont le 6 juin. Deux jours après, il n'en reste que 60 debout. 80 sont gravement blessés, 60 ont péri au combat. Postés sur l'autre rive de la rivière, trois chars allemands ont riposté pendant deux jours sans discontinuer. Il s'agit d'engins français de la marque Renault, que les Allemands se sont procurés dès 1940. Deux d'entre eux ont explosé à la suite de tirs de bazooka, le troisième a pris la fuite pour contourner notre front et nous attaquer par-derrière. Il n'a pas eu le temps de faire de dégâts car nous l'avons intercepté et anéanti avant même qu'il ne tire sa première salve.
9 juin
Première grande victoire, nous parvenons enfin à traverser ce petit pont de pierre et à gagner l'autre rive de cette rivière, la Merderet. Nous pouvons maintenant poursuivre notre avancée plein ouest et contrôler une partie non négligeable de la presqu'île du Cotentin. Nous gagnons enfin concrètement du terrain. Nous pouvons désormais considérer que le Débarquement s'est achevé pour laisser la place à la bataille de Normandie».
Howard Manoian est blessé gravement pour la première fois le 17 juin, à Saint-Sauveur-le-Vicomte. Une balle lui traverse la paume de la main, de sorte «qu'on pouvait voir à travers». Il est également touché aux deux jambes. Il est transféré dans un hôpital de campagne aménagé sur la plage d'Utah Beach. Le sort s'abat une nouvelle fois sur lui à sa sortie de l'hôpital. Un chasseur allemand mitraille la plage en rase-mottes et le blesse à l'autre main. Pendant que le 505e régiment libère le sud de la Manche, et notamment la Haye-du-Puit, Howard Manoian est transféré en Angleterre par navire-hôpital, et placé en convalescence jusqu'au 13 septembre. Il participe ensuite à la campagne de Hollande, puis à celle des Ardennes, particulièrement éprouvante. «Je n'ai jamais eu aussi froid», confie-t-il.
Howard Manoian ne marchera pas sur Berlin, il sera arrêté de nouveau dans sa course par une grave blessure en mars 1945, qui l'oblige à regagner définitivement les Etats-Unis. Il foule le sol américain le 10 mai, et savoure six semaines de permission.
Au lendemain de la guerre, Howard Manoian quitte l'armée. Il devient gardien de prison, fonction dans laquelle il «s'ennuie à mourir». Il quitte l'administration pénitentiaire pour exercer le métier de policier pendant 32 ans. | |
| | | eyegfash3
Messages : 129 Date d'inscription : 27/11/2007
| Sujet: Re: What the f... ?!? Lun 6 Juil 2009 - 14:33 | |
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Dernière édition par eyegfash3 le Lun 6 Juil 2009 - 14:36, édité 1 fois | |
| | | HiStory Admin
Messages : 649 Date d'inscription : 26/11/2007 Age : 34
| Sujet: Re: What the f... ?!? Lun 6 Juil 2009 - 14:35 | |
| Se réinventer une histoire pour avoir l'admiration de tous c'est fou mais ca peut se comprendre ... il y était quand même. Le plus fou c'est que personne ne se soit rendu compte avant de l'imposture. Et a y être il doit pas être le seul. | |
| | | FOUDRETONNERRE
Messages : 134 Date d'inscription : 02/03/2008 Age : 59 Localisation : MARSEILLE
| Sujet: Re: What the f... ?!? Mer 8 Juil 2009 - 0:34 | |
| attention a t on apporte la preuve formelle qu il y a imposture? nous avons en france la facheuse habitude de tous salir.....et surtout les heros vu qu ils sont rares.est ce que depuis le temps d autres veterans n auraient pas dis qu il s agissait de mensonges concernant ce monsieur .permettez moi de pauser la question. | |
| | | eyegfash3
Messages : 129 Date d'inscription : 27/11/2007
| Sujet: Re: What the f... ?!? Mer 8 Juil 2009 - 1:36 | |
| - FOUDRETONNERRE a écrit:
- attention a t on apporte la preuve formelle qu il y a imposture?
nous avons en france la facheuse habitude de tous salir.....et surtout les heros vu qu ils sont rares.est ce que depuis le temps d autres veterans n auraient pas dis qu il s agissait de mensonges concernant ce monsieur .permettez moi de pauser la question. le Boston tribune, dénnonce les faits.. des vets était reservés sur ces propos et sur cet individu qui je rappelle n'est sur aucune photos d'époques et n'est pas présent des les récits du 505 PIR .. "son régiment".. | |
| | | oldchouff
Messages : 60 Date d'inscription : 14/01/2008 Age : 54 Localisation : lord Mc Rashley est pendu dans ma chambre
| Sujet: Re: What the f... ?!? Mer 8 Juil 2009 - 1:48 | |
| ni sur aucun roster du regiment | |
| | | FOUDRETONNERRE
Messages : 134 Date d'inscription : 02/03/2008 Age : 59 Localisation : MARSEILLE
| Sujet: Re: What the f... ?!? Mer 8 Juil 2009 - 23:00 | |
| alors chers amis c est une histoire bien triste surtout pour la memoire de ceux qui sont tombes et tous les autres qui ont tant souffert . | |
| | | NENSJACK
Messages : 68 Date d'inscription : 04/01/2008 Age : 35 Localisation : Le Mans (Sarthe 72)
| Sujet: Re: What the f... ?!? Mer 8 Juil 2009 - 23:10 | |
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| | | BMC
Messages : 11 Date d'inscription : 10/06/2009 Localisation : SECTEUR 244.ID
| Sujet: Re: What the f... ?!? Sam 11 Juil 2009 - 10:30 | |
| Howard, c'est fait attraper par le progresse techniques, car quand il a lance son histoire, il ne pouvait pas prévoir l'informatisation des archives ni de internet.Maintenant la monde est venue une village (pas de jeep), et comme dans tout village, tout ce sait. Avis aux etuidants, c est bien de avoir le bac, mais apprennes une deuxième langue, la combinisation de informatique avec une autre langue(les traducteurs automatiques sont plus que approximative), ça ouvre le horizon. | |
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| Sujet: Re: What the f... ?!? | |
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